Courir après la chance ou l’acueillir quand elle passe ?

En retard, en retard !Tant de fois on court dans tous les sens pour attraper la chance ou le bonheur, alors que l’instant présent pourrait nous apporter bien plus d’intensité. En fait, on croit courir après la chance, mais non, c en’est pas après la chance qu’on court. C’ets un peu comme une machien qui s’emballe, on court après l’idée qu’on se fait de la viee, ses obligations, son devoir. On court , on court…. Sait-on encore après quoi ? Y a-t-il quelque chose à attraper ? Posons-nous un moment. Et accueillons cette idée, comme si elle venait de Jimmy Crocket, bonne conscience de Pinochio, qui lui soufflerait, qui nous soufflerait  » Arrête de courir, tu vas passer à côté… »

Tiens, ça me fait penser au lapin blanc que rencontre Alice, dans Alice au pays des merveilles… Il est en retard, toujours en retard… Vite, vite il est pressé. Remarquez que dansun sens sil est le seul être senséd e cetet histoire puisqu’il court du début à la fin en nosu entraînant à sa suite pourfinalement être à l’heure à son travail. On le comprend à la fin du film lorsqu’on le voit habillé en valet introduisant le roi et sa dame de coeur. Donc tout ça pour ça? Dans le cas du lapin, pourquoi pas, après tout ? Mais Alice après quoi court elle ? Elle se laisse entraîner dans le tourbillon de cette course sans comprendre elle-même ce qui se passe. Bah, admettons que c’est souvent notre cas, courir,courir, après quelque chose, après on ne sait quoi qui va arriver ou qu’il faut atteindre, au risque de ne pas voir la chance qu’on a de vivre cet instant présent.

Demain, viendra un joli texte qui illustrera encore cette idée : rien ne sert de courir si c’est pour passer à côté de sa chance !

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