La dépression au travail n’est pas une question de chance
Des études récentes faites au Danemark viennent confirmer ce qu’on subodorait depuis longtemps : ce n’est pas l’excès de charge de travail qui est le facteur déterminant de la dépression au travail mais bien l’ambiance dans laquelle on est amené à travailler, et plus spécifiquement, le sentiment d’’injustice vécu sur le lieu de travail et avec laquelle un patron traite ses employés .
En fait le sentiment d’avoir une trop grande charge de travail est très subjectif, et ce que révèle ces études est qu’à lui seul ce critère n’est pas suffisant. Le salarié qui ne sent pas écouté par son hiérarchique, ou pas reconnu, ou pas respecté, aura tendance à trouver qu’on lui donne trop de travail Ce qui est intéressant est d’analyser pourquoi il ressent cela. Et ce qu’on trouve, c’est que , non respecté, non valorisé, il a de moins en moins de motivation à effectuer les tâches demandées et les trouve de plus en plus lourdes, au point de se plaindre de la charge de travail.
La dépression, une maladie ou une chance ?
La question n’est pas vraiment de savoir ce qu’il en est de la dépression, une maladie ou une chance. Certes , elle permet de faire le point sur soi-même et d’avancer mais elle reste dans tous les cas douloureuse. Rien à voir avec le fait d’être malchanceux. Le fait est que c’est l’environnement dans lequel on travaille qui est déterminant.
Ce qui compte avant tout, c’est le sentiment d’être à sa place, d’être utile, ce qui implique la reconnaissance et de sa fonction et de sa personne, tant par les collègues que par la hiérarchie. Or dans un monde où c’est de plus en plus chacun pour soi, dans des entreprises où chacun vit sous stress, et se protège derrière un masque de compétence et d’efficacité, cette reconnaissance de l’autre est de plus en plus difficile. Et quand elle n’existe pas, elle est de plus en plus douloureuse. Au départ, on se tait mais la souffrance ne peut aller qu’en s’accroissant.
Comment sortir de la dépression sans abrutissement chimique
Si vous êtes concernés par la dépression au travail, sachez qu’il existe des solutions discrètes et non coûteuses pour que vous repreniez pied avant qu’on s’inquiète autour de vous et que vous passiez en dépression chronique. Les découvertes récentes concernant les états modifiés de conscience ouvrent de nouveaux horizons. Il s ‘agit ni plus ni moins de trouver en soi les ressources qui permettent de retrouver et consolider la confiance et l’estime de soi.
Diverses méthodes existent pour lutter contre la dépression. Il en est une particulièrement douce et sympathique qui a été mise au point par Alex Michel à partir de musiques thérapeutiques. Il a créé un pack « Mieux vivre » à partir d’une technologie sonore, complètement indolore et qui permet d’éviter l’abrutissement et surtout l’accoutumance chimique.
Pour en savoir plus sur cette méthode , me mieux est de consulter directement sa présentation ici.
Jai fait mon dernier stage de médecine à Fermont et je peux dire que c’est épouvantable la quantité d’anti-dépresseurs qui sont vendus là-bas! La moitié de nos journées consistaient à renouveller ou à prescrire ces pillules. Il y a au-moins le 3/4 des employés de la mine, ArcelorMittal, qui sont sous ordonance et qui doivent prendre des somnifères. C’est vraiment troublant, je ne comprends pas comment des employés peuvent vivre de cette manière. En tk, c’est leur choix, pas le mien!